Coprin qui s'éveille au matin pluvieux
Le corps droit gorgé d'eau joyeuse
Ta tête parasol appelle la splendeur
Un cliché rapide,avant que se pointe le jour
L'effrenné de la vie
Me happe à son bord
Au retour,alors,
Je clame t'avoir vu
Pourtant rien de toi ne subsiste
Que l'idée d'un passage
Encré au néant
Je n'ai pas vu de statue pleurer
J'ai vu ce mirage de vie spongieuse
J'ai vu cette amie quitter mes rivages
Sans se retourner jamais
J'aime beaucoup ce poème.
RépondreSupprimerL'éphémérité de - presque - tout...