Il y a cette fillette
Qui disait sien le chalet familial
Qui s'appropriait le Rocher Percé
Et dessinait au noir tableau d'ardoise
Les plus grands des bals d'oiseaux
Il y a cette jeune femme
Qui se languissait des marées
Qui n'aurait pourtant jamais osé
Troquer la ville,filer loin
Au bout de la 132
Il y a cette trentenaire
Presque bientôt quarante ans
Qui voit les autres faire maison
Dans leurs rêves élémentaires
Et puis,pourquoi pas?
Pourrait-elle, elle aussi
Laisser la banlieue à son asphalte
Laisser les peurs en arrière
Et faire de la plage son salon
Cueillir le varech à pleines mains
Se réinventer des saisons
Très joli et authentique !
RépondreSupprimerMerci !
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