Un an de ce lieu
Des effluves salines
Qui rééquilibrent mes tristesses
Les chemins vers le fleuve
Foulés maintes fois par mes pieds
Être inconnue dans la foule
Me répendre dans l'humanité
Aux miles visages
Mon silence
Pour entendre le chant des marées
Un an de ce lieu
Comme un souhait
De m'emmitouffler aux abords du littoral
Jusqu'au souffle dernier
Le soulagement d'être
Là où l'âme s'apaise
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